Conseil #1 : parlez-en

Votre politique d’absentéisme ne doit pas prendre la poussière (numérique) sur votre intranet. En effet, chaque entreprise est en constante évolution : les rôles et équipes changent, les collaborateurs vont et viennent… Tous ces changements ont des répercussions sur votre politique d’absentéisme et sur les responsabilités qui en découlent.

Si vous communiquez régulièrement à ce sujet (directives, résultats…), tout le monde sera au courant des accords conclus. Cela peut par exemple se faire lors de l’intégration de nouveaux collaborateurs, de la promotion de campagnes sur le bien-être ou du partage des réussites en matière d’absentéisme.

L’approche professionnelle et chaleureuse de Mensura

Conseil #2 : mesurez vos progrès grâce au logiciel de gestion de l’absentéisme

Un logiciel de gestion de l’absentéisme convivial vous permet de centraliser les chiffres et procédures de l’absentéisme en un seul et même endroit. Vous pouvez ainsi facilement effectuer le suivi : absences de courte et longue durée, fréquence des absences, taux d’absentéisme… Mesurer, c’est savoir, et ce logiciel vous aide à mesurer l’impact de votre politique.

Vous pouvez non seulement mesurer et communiquer les chiffres de l’absentéisme à vos collaborateurs, mais si vous les analysez sur le long terme, vous verrez également apparaître certaines tendances. A terme, vous pourrez dès lors prévoir l’absentéisme, détecter les problèmes persistants et inciter les responsables à anticiper.

De même, vous pouvez utiliser le logiciel de gestion de l’absentéisme pour contrôler le bon déroulement des étapes de votre processus : entretiens d’absentéisme, politique de réintégration, check-lists et modèles…

Conseil #3 : continuez à motiver vos collaborateurs

D’après un sondage à grande échelle mené par Mensura, 43,5 % des travailleurs belges sont « très motivés » au travail. Seuls un peu moins de 4 % ne sont « pas motivés ». Ces chiffres sont excellents, mais cela signifie également qu’un grand groupe (52,5 %) n’est que « relativement » ou « peu » motivé. Et c’est principalement ce groupe qui requiert une attention particulière dans le cadre d’une politique d’absentéisme positive et durable.

Donnez-lui la possibilité d’apporter sa propre contribution : d’après ces personnes, que pouvez-vous améliorer ? Une personne sur trois (34,2 %) estime par exemple que l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée n’est pas encore satisfaisant. Faites en sorte de répondre à ces besoins, montrez votre appréciation (mais sincèrement) et dites clairement pourquoi le travail de vos collaborateurs est important. Vous augmenterez ainsi leur engagement, leur productivité, leur bien-être et leur employabilité durable et réduirez tout à coup le risque d’absentéisme et de rotation du personnel.

Conseil #4 : nouvelle politique ? Faites preuve de patience.

Vous venez de mettre en place votre politique d’absentéisme ? Donnez-lui le temps d’évoluer et de s’ancrer dans votre entreprise. En effet, le ROI ne sera pas immédiatement visible. Faites preuve de patience et continuez à suivre les trois premiers conseils. Prévoyez aussi régulièrement des moments d’évaluation afin d’examiner la politique d’un œil critique et d’y apporter des ajustements si nécessaire.

Plus forts pour la guerre des talents

Une politique d’absentéisme claire permet non seulement de faire baisser les chiffres de l’absentéisme, mais aussi de renforcer la position de l’entreprise à long terme. Dès que vous aurez obtenu des résultats positifs, vos collaborateurs seront motivés à poursuivre sur cette voie. Ils deviendront des ambassadeurs proactifs de votre politique auprès de leurs collègues et du monde extérieur. Et pour vous, en tant qu’employeur, c’est positif, car vous créez ainsi une culture d’entreprise saine et faites du bien-être une priorité, ce qui vous permet d’attirer plus facilement des éléments dans la guerre des talents.